Le WebRTC c’est quoi ?

Aujourd’hui pour utiliser une solution de communication unifiée il est nécessaire de disposer sur son PC d’une suite ou sur son smartphone ou sa tablette d’une application. Avec une solution de WebRTC ce ne sera bientôt plus le cas.

J’entends souvent parler de WebRTC de quoi s’agit-il ?

C’est très simple il s’agit d’un standard en cours de définition qui vise à intégrer dans un browser web des fonctionnalités et de les associer à un ensemble d’API Javascript open source. Ces API couplées à la norme HTML5 vont permettre à deux utilisateurs de communiquer directement comme le ferait une solution de type Skype ou Webex ce bien entendu sans client spécifique en utilisant simplement leur navigateur. Google et Mozilla sont les acteurs les plus en en pointe. Chrome et Firefox sont déjà compatibles WebRTC. A noter que concernant le transport des flux vidéo deux codecs sont en concurrence VP8 et H264 AVC rendu gratuit par Cisco.

De nombreux challenges restent à relever : l’interopérabilité entre les navigateurs mais aussi et surtout l’intégration WebRTC au sein des solutions de communications unifiées constructeurs. Comment vont inter fonctionner les IPBX SIP avec les serveur Web ?

OpenIP présentera les dernières innovations du marché des Communications…

A l’occasion de la 10ème édition du salon IT Partners, les 3 et 4 février prochain à Disneyland® Paris, OpenIP présentera les dernières nouveautés du marché des Communications Unifiées et notamment les solutions de ses partenaires 3CX, Centile, Gigaset, snom, beroNet, Jabra et Logitech.

Paris, le 11 janvier 2014 – Les 3 et 4 février prochain, OpenIP participera au Salon IT Partners afin de présenter les dernières nouveautés du marché des Communications Unifiées à destination des petites et moyennes entreprises. Sur le thème des « Spécialistes des Communications Unifiées », OpenIP a divisé son stand en trois parties représentant chacune une solution de Communications Unifiées adaptée aux besoins des petites et moyennes entreprises.

www.itpartners.fr

La faille Shellshock menace l’environnement Linux

Le shell Bash, l’un des plus couramment utilisé dans les distributions Linux et sous Unix, dont Mac OS X, est victime d’une importante faille de sécurité pouvant être exploitée à distance. Cette faille découverte par le français Stéphane Chazelas, représente donc un risque sérieux de sécurité pour les utilisateurs car il y a de fortes chances pour qu’une immense majorité de serveurs soit concernée. Elle pourrait être présente depuis longtemps dans de nombreuses déclinaisons Linux pour entreprise, les serveurs Web Apache étant particulièrement exposés. Pour l’expert Robert Graham un nombre très important de programmes peuvent interagir avec ce shell ce qui empêche d’établir une liste précise de tous les logiciels affectés par cette vulnérables. Cette faille réside dans la manière dont Bash interprète les variables d’environnement et peut être utilisé dans une grande variété de contextes : une requête depuis le web, depuis une application exécutant des scripts Bash, des sessions SSH ou même des CGI et ainsi de suite. Correctement exploitée, la vulnérabilité permet à un attaquant d’injecter son code dès que le shell est invoqué, ouvrant la voie à de nombreuses attaques. Des correctifs sont déjà proposés par les développeurs de Bash qui fournissent des patchs pour les versions 3.0 à 4.3. Des patchs ont commencé à être proposés pour plusieurs distributions Linux (RHLECentOSUbuntuDebian,…) et d’autres devraient encore suivre.

Pour mieux comprendre cette faille, allez voir la page du célèbre Michal Zalewski (aka lcamtuf) en suivant ce lien http://lcamtuf.blogspot.fr/2014/09/quick-notes-about-bash-bug-its-impact.html

Informations officielles: http://web.nvd.nist.gov/view/vuln/detail?vulnId=CVE-2014-6271

THD, le torchon brûle entre Numéricâble le département des Hauts-de-Seine !

C’est le 17 octobre 2014 que le divorce entre les Hauts-de-Seine et son délégataire pour les réseaux très haut débit devrait être prononcé. Ce jour-là, l’assemblée départementale débattra de la résiliation pour faute de délégation de service public «THD Seine», aux torts exclusifs de Sequalum. Une demande d’indemnisation pour le préjudice subi, dans le cadre du règlement des comptes de la délégation de service public suite à sa résiliation sera également demandée par l’assemblée départementale.
Des retards persistants par rapport au calendrier contractuel de déploiement du réseau qui avait été établi ont motivés cette demande de résiliation.
« La somme de 45 millions d’euros avait été réclamée au titre des pénalités de retard. A l’expiration du délai de délai de 30 jours fixés et en l’absence de réponse de l’intéressé, le département a d’ores et déjà sollicité le paiement de 10 millions d’euros, au titre de la limite du plafond garanti » explique le porte-parole du Conseil Général. A lire sur : http://t.01net.com/ar626840

Haut débit et bas débit – Deux technologies pas si éloignées l’une de l’autre !

Aujourd’hui la technologie ADSL est monnaie courante et fait partie de notre quotidien. Les modems 56k, pour ceux qui s’en souviennent encore, sont bel et bien tombés dans nos oubliettes informatiques ! Pourtant si l’on se penche sur la question, haut débit et bas débit sont deux technologies qui ne sont pas si éloignées l’une de l’autre. Grâce aux explications du professeur de physique Derek Mc Auleyde de l’université de Nottingham, découvrez en ligne l’histoire de l’évolution de l’acheminement de la data sur votre paire cuivrée, ou comment faire du haut débit avec deux fils de cuivre…

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le trunk SIP….

Encore peu connu, le trunk SIP permet aux entreprises de connecter leurs systèmes téléphoniques internes à leur réseau d’opérateur. En cette période nous vous conseillons une révision générale sur le sur le Trunk SIP à travers l’excellente Chronique de  : lien JDN

850 000 dollars c’est la somme déboursée par Google

850 000 dollars c’est la somme déboursée par Google pour racheter Alpental, société américaine spécialisée dans les technologies de communications sans fil à très haut débit. Cette jeune pousse fondée par Pete Gelbman et Mike Hart, exerce aujourd’hui en tant que filiale de Google. Alpental propose des technologies sans fil dont la particularité est d’exploiter la bande de fréquences à 60 GHz. Actuellement utilisée pour la communication à courte portée entre plusieurs appareils (écrans, projecteurs, disques durs externes, passerelles réseau…) cette tchno sert également à étendre les capacités des réseaux fibre entre des bâtiments proches.

Téléphoner en avion ; les opérateurs remettent leur copies !

l’Arcep lance une consultation avec pour objectif l’autorisation des communications mobiles dans les avions. Celle-ci invite les opérateurs à proposer des dispositifs permettant l’utilisation en vol de la voix et de la data, en expliquant comment ils respecteront les conditions posées par Bruxelles. Exemple, faire transiter la 3G sur la bande de fréquence des 2,1 GHz, alors que la 2G et la 4G occuperont elles la bande des 1800 MHz. Contraintes à respecter, d’une part les communications ne seront autorisées qu’au-dessus de 3000 mètres d’altitude et d’autre part  les systèmes mis en place devront “permettre d’éviter toute tentative d’accès aux réseaux terrestres de la part des terminaux mobiles embarqués”. D’où la nécessité de placer une unité de contrôle du réseau dans l’avion pour que les smartphones ne puissent utiliser que les fréquences autorisées. Résultats après  le11 avril 2014, date limite de la remise des offres !